Le Riz

Voilà parce que le riz c'est important, surtout culturellement parlant quand on revendique avec fierté son origine nippone.
Pour faire style que je m'y connais trop, je commence par un copier-coller rapide depuis Wikipedia (ben oui, c'est moins relou que d'aller chercher le dictionnaire pour se recopier une définition) :
Le riz est une céréale, plante de la famille des Graminées ou Poacées, cultivée dans les régions tropicales, subtropicales et tempérées chaudes pour sa graine ou caryopse, riche en amidon.
Ceci dit, ça nous aide pas trop.
Après pour me la péter je peux dire que le riz se dit rice en anglais, ou bien arroz en espagnol, mais aussi gohan en japonais. Mais bon, ça on s'en fiche un peu.
Maintenant je peux aussi parler de mon rapport personnel avec le riz.
Donc puisque je sens que ça vous turlupine, quelle relation entretiens-je donc avec le riz ? Ben voilà, depuis ce jeudi de février 1998, un jour de février a priori comme les autres... Nan je rigole, je ne me souviens aucunement de la date ni de l'année.
Tout ce que je sais c'est qu'à partir de ce jour ou un japonais quelconque, accessoirement ami de ma mère et séjournant en France, était retourné dans son pays natal, et nous avait gentiment offert sa machine à préparer du riz collé (trop high-tech la machine que tu peux même la programmer à l'avance et tout... l'ennui c'est que les boutons sont tous en japonais -__- ce qui limite pas mal le nombre de personnes qui savent se servir de la machine... autrement dit ma mère) bref je disais donc que depuis ce jour-là, (si même moi je me perds dans mes phrases alors on n'est pas sortis de la berge) eh bien on mange du riz toutes les semaines et croyez-moi, à manger du riz toutes les semaines et ben on s'en lasse... Mais bon on fait avec puisqu'au fond, on aime ça quand même.
Qui sait, peut-être vais-je sombrer dans une maladie psychologique quelconque dûe à la trop grande quantité de riz que j'aurai mangé tout en long de ma vie. Je dessinerai alors des bols de riz partout et je me lançerai dans la riziculture dans ma baignoire et l'image de ce japonais à cause de qui tout cela a commencé me hantera, et ce continuerai, en vain, à me demander "Mais... mais qui es-tu à la fin ?..."
Bon pour l'info la fin étrange, c'est parce que ça faisait partie de l'exercice d'écriture (c'est classe si on appelle ça comme ça nan ?) de finir par "qui es-tu" alors bon... j'ai taché de faire une transition plus ou moins cohérente (peut-être moins que plus ?).
C'est vrai que la solution de facilité aurait été de finir sans transition en disant, "Mais Defaÿs, qui es-tu ?" , puisque que cette question agite les esprits (n'est-ce pas ?) mais bon, pourquoi choisir la facilité ? En tout cas, mon contrat est rempli si j'puis dire.