"Je ne suis pas une gravure de mode, je suis une figure de style !"
Phrase du jour: Hello, I love you won't you tell me your name ? Hello, I love you, let me jump in your game !.. - Tiens, je me demande si je l'avais pas déjà mise... Si c'est le cas, peu importe. Sinon, c'est les Doors.
Allez, on va se la jouer Science Fiction... Mais avant de commencer, rappelons les mots : coude ; ciel ; à l'envers ; record ; s'exploser la gueule sur le parquet.
Arthur était installé devant le rebord de sa fenêtre, d'où il aimait scruter avec son téléscope le ciel et particulièrement les étoiles, qui l'avaient toujours fasciné, sans qu'il ne sache trop pourquoi. Ce jour là, comme la veille, le ciel s'était assombri en un temps record, passant de l'ôcre au fushia, puis à l'indigo, avant de prendre une teinte de bleu profond.
Ressentant comme une sorte de présence dans son dos, Arthur se retourna et trébucha sur le pied de son télescope, quand il vit une silhouette androgyne au milieu de sa chambre.
"- Eh ! J'ai failli m'exploser la gueule contre le parquet à cause de toi ! Et d'abord, t'es qui, toi ?!"
Pas de réponse.
Le jeune garçon se rapprocha donc de l'étrange personnage, qui le fixait de ses grands yeux violets, et agita sa main devant sa figure. A ce moment-là, il saisit le coude d'Arthur.
Sentant alors les murs de la pièce tourner autour de lui, ce dernier apercevait sa chambre à l'envers et fermait les yeux, aveuglé par ce tourbillon de couleurs.
La drôle de sensation a cessé. Arthur tourne instinctivement la tête vers la fenêtre de cette chambre qui n'est visiblement plus la sienne. Il aperçoit un extraordinaire paysage et pourtant, naît chez lui un sentiment de déjà-vu...
Allez, on va se la jouer Science Fiction... Mais avant de commencer, rappelons les mots : coude ; ciel ; à l'envers ; record ; s'exploser la gueule sur le parquet.
Arthur était installé devant le rebord de sa fenêtre, d'où il aimait scruter avec son téléscope le ciel et particulièrement les étoiles, qui l'avaient toujours fasciné, sans qu'il ne sache trop pourquoi. Ce jour là, comme la veille, le ciel s'était assombri en un temps record, passant de l'ôcre au fushia, puis à l'indigo, avant de prendre une teinte de bleu profond.
Ressentant comme une sorte de présence dans son dos, Arthur se retourna et trébucha sur le pied de son télescope, quand il vit une silhouette androgyne au milieu de sa chambre.
"- Eh ! J'ai failli m'exploser la gueule contre le parquet à cause de toi ! Et d'abord, t'es qui, toi ?!"
Pas de réponse.
Le jeune garçon se rapprocha donc de l'étrange personnage, qui le fixait de ses grands yeux violets, et agita sa main devant sa figure. A ce moment-là, il saisit le coude d'Arthur.
Sentant alors les murs de la pièce tourner autour de lui, ce dernier apercevait sa chambre à l'envers et fermait les yeux, aveuglé par ce tourbillon de couleurs.
La drôle de sensation a cessé. Arthur tourne instinctivement la tête vers la fenêtre de cette chambre qui n'est visiblement plus la sienne. Il aperçoit un extraordinaire paysage et pourtant, naît chez lui un sentiment de déjà-vu...
posted by Misao chan @ 15:42
3 Comments:
Ouais mais bon, écrire je veux bien mais partir de rien c'est pas facile...
Un jour viendra où j'aurai plein de sujets en tête pour écrire dessus. En attendant, je ne peux que contempler l'étendu de mon inculture en me disant que j'essaie un peu chaque jour d'y remédier ("Oh, c'est beau c'que tu nous dis là!").
Bref en attendant ce jour-là (et en espérant qu'il arrive quand même avant ma mort...), je peux toujours espérer les illuminations ponctuelles (rares certes)!
A bientôt, dans l'auto (haha...^^)
je pusse point te mander que ceci ne fuuse point a point
Dans la catégorie des commentaires hors sujet, incongrus voire carrément loufoques, je crois qu'on peut avec plaisir décerner la palme d'or à celui ci !
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